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Lucie Delarue-Mardrus
Amour
Poèmes d’amour
Paul Klee, Les amants, 1920
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Accourez au secours à ma mort violente
Théodore Agrippa d'Aubigné
Absence
Renée Vivien
Ô Femme au cœur de qui mon triste cœur a cru,
Je te convoite, ainsi qu’un (continuer...)
Je te convoite, ainsi qu’un (continuer...)
Abri
Esther Granek
À vrai dire, à dire vrai
Nashmia Noormohamed
À Uranie
Voltaire
À une dame ou soit-disant telle
Voltaire
A une Dame créole
Charles Baudelaire
Au pays parfumé que le soleil caresse,
J'ai connu, sous un dais d'arbres tout (continuer...)
J'ai connu, sous un dais d'arbres tout (continuer...)
À Samuel Bernard
Voltaire
À Ninon
Alfred de Musset
Si je vous le disais pourtant, que je vous aime,
Qui sait, brune aux yeux bleus, (continuer...)
Qui sait, brune aux yeux bleus, (continuer...)
À mon Tiercelet
Guillaume Apollinaire
À mon père
Max Elskamp
À mon ami ***
Félix Arvers
A Mme Lullin
Voltaire
À maman
Sybille Rembard
À Mademoiselle Le Couvreur
Voltaire
L'heureux talent dont vous charmez la France
Avait en vous brillé dès votre enfance (continuer...)
Avait en vous brillé dès votre enfance (continuer...)
À Madame Marguerite
Pierre de Ronsard
A Madame G (Sonnet)
Alfred de Musset
C'est mon avis qu'en route on s'expose à la pluie,
Au vent, à la poussière, (continuer...)
Au vent, à la poussière, (continuer...)
À ma mère
Théodore de Banville
À ma femme
Kamal Zerdoumi
À ma fée
Christophe Bregaint
À M. Le duc de La Feuillade
Voltaire
À l’ennemie aimée
Renée Vivien
Tes mains ont saccagé mes trésors les plus rares,
Et mon cœur est captif entre (continuer...)
Et mon cœur est captif entre (continuer...)
À l’Amie
Renée Vivien
Dans tes yeux les clartés trop brutales s’émoussent.
Ton front lisse, pareil (continuer...)
Ton front lisse, pareil (continuer...)
A Lydie
François-René de Chateaubriand
A Laure
Alfred de Musset
Si tu ne m'aimais pas, dis-moi, fille insensée,
Que balbutiais-tu dans ces fatales (continuer...)
Que balbutiais-tu dans ces fatales (continuer...)
À la nuit
Anna de Noailles
Nuits où meurent l’azur, les bruits et les contours,
Où les vives clartés (continuer...)
Où les vives clartés (continuer...)
A la mi-carême
Alfred de Musset
À la marquise du Châtelet
Voltaire
A la Femme aimée
Renée Vivien
Lorsque tu vins, à pas réfléchis, dans la brume,
Le ciel mêlait aux ors le (continuer...)
Le ciel mêlait aux ors le (continuer...)
À la belle impérieuse
Victor Hugo
A l’éclair violent de ta face divine
Théodore Agrippa d'Aubigné
A Julie
Alfred de Musset
A Juana
Alfred de Musset
A Jamais
Chloe Douglas
À Gianetta
Félix Arvers
A George Sand (VI)
Alfred de Musset
Porte ta vie ailleurs, ô toi qui fus ma vie ;
Verse ailleurs ce trésor que j'avais (continuer...)
Verse ailleurs ce trésor que j'avais (continuer...)
A George Sand (V)
Alfred de Musset
Toi qui me l'as appris, tu ne t'en souviens plus
De tout ce que mon coeur renfermait (continuer...)
De tout ce que mon coeur renfermait (continuer...)
A George Sand (IV)
Alfred de Musset
Il faudra bien t'y faire à cette solitude,
Pauvre coeur insensé, tout prêt à (continuer...)
Pauvre coeur insensé, tout prêt à (continuer...)
A George Sand (III)
Alfred de Musset
Puisque votre moulin tourne avec tous les vents,
Allez, braves humains, où le (continuer...)
Allez, braves humains, où le (continuer...)
A George Sand (II)
Alfred de Musset
Telle de l'Angelus, la cloche matinale
Fait dans les carrefours hurler les chiens (continuer...)
Fait dans les carrefours hurler les chiens (continuer...)
A George Sand (I)
Alfred de Musset
voilà revenu, dans mes nuits étoilées, Bel ange aux yeux d'azur, aux paupières (continuer...)
A Elvire
Alphonse de Lamartine
A deux beaux yeux
Théophile Gautier
Vous avez un regard singulier et charmant ;
Comme la lune au fond du lac qui la (continuer...)
Comme la lune au fond du lac qui la (continuer...)
A Cupidon
Pierre de Ronsard
À Clairette
Alphonse Daudet
À celle qu’on dit froide
Paul Verlaine
A celle qui est voilée
Victor Hugo
A celle que j’aime
Nérée Beauchemin
À Célimène
Alphonse Daudet
Je ne vous aime pas, ô blonde Célimène,
Et si vous l’avez cru quelque temps, (continuer...)
Et si vous l’avez cru quelque temps, (continuer...)
A
Laetitia Sioen
9 décembre
Jean-Pierre Villebramar
