A Londres je connus BellaPaul-Jean Toulet A Londres je connus Bella,Princesse moins lointaineQue son mari le capitaineQui (continuer...)
À Madame ***Paul Verlaine Quand tu m’enserres de tes cuissesLa tête ou les cuisses, gorgeantMa gueule (continuer...)
AmourettePierre de Ronsard Or que l'hiver roidit la glace épaisse,Réchauffons-nous, ma gentille maîtresse,Non (continuer...)
Au balPaul Verlaine Un rêve de cuisses de femmesAyant pour ciel et pour plafondLes culs et les (continuer...)
BaiserJoachim du Bellay Quand ton col de couleur roseSe donne à mon embrassementEt ton oeil languit (continuer...)
Bonheur ParfaitThéophile Gautier Que les chiens sont heureux !Dans leur humeur badine,Ils se sucent la pine,Ils (continuer...)
Con large comme un estuaireGuillaume Apollinaire Con large comme un estuaireOù meurt mon amoureux refluxTu as la saveur poissonnièrel'odeur (continuer...)
ConcordancesThéophile Gautier Dieu fit le con, ogive énorme,Pour les chrétiens,Et le cul, plein-cintre (continuer...)
Femme du mondeThéophile Gautier Cette femme du monde,Pâle et blonde,Qu’on voit d’un pas pressé,L’œil (continuer...)
FillesPaul Verlaine IBonne simple fille des ruesCombien te préféré-je aux gruesQui nous (continuer...)
GamineriesPaul Verlaine Depuis que ce m’est plus commodeDe baiser en gamin, j’adoreCette manière (continuer...)
Goûts royauxPaul Verlaine Louis Quinze aimait peu les parfums. Je l’imiteEt je leur acquiesce en la juste (continuer...)
Idylle high-lifePaul Verlaine La galopineÀ pleine mainBranle la pineAu beau gamin.L’heureux potacheDécalottéJouit (continuer...)
Jeune goinfreArthur Rimbaud Casquette,De moire,QuéquetteD'ivoire,ToiletteTrès noire,Paul (continuer...)
L’Idole, Sonnet du Trou du CulArthur Rimbaud Obscur et froncé comme un oeillet violetIl respire, humblement tapi parmi la (continuer...)
La bonne joieHélène Picard Souvent, je m'attendris, vraiment, jusqu'à pleurerEn m'imaginant nue et dans (continuer...)
La femme adultèreFederico Garcia Lorca A Lydia Cabrera y a su negritJe la pris près de la rivièreCar je la croyais (continuer...)
La rueAntonin Artaud La rue sexuelle s'animele long de faces mal venues,les cafés pepiant de crimesderacinent (continuer...)
Le Coeur suppliciéArthur Rimbaud Mon triste cœur bave à la poupe ...Mon cœur est plein de caporal!Ils y lancent (continuer...)
Le Godemichet de la GloireThéophile Gautier Un vit sur la place Vendôme,Gamahuché par l’aquilon,Décalotte son large (continuer...)
Le NombrilThéophile Gautier Nombril, je t'aime, astre du ventre.Œil blanc dans le marbre sculpté,Et que (continuer...)
Les bijouxCharles Baudelaire La très-chère était nue, et, connaissant mon coeur,Elle n'avait gardé que (continuer...)
Les poètes l’ont si bien ditPierre de Ronsard Je te salue, Ô merveillette fente,Qui vivement entre ces flancs reluis;Je (continuer...)
Les remembrances du vieillard idiotArthur Rimbaud Pardon, mon père!Jeune, aux foires de campagne,Je cherchais, non le tir banal (continuer...)
Les StupraArthur Rimbaud Les anciens animaux saillissaient, même en course,Avec des glands bardés de (continuer...)
Lettre par Aurore DupinGeorge Sand Lettre envoyée par Aurore Dupin (romancière francaise du XIXe siècle), dite George (continuer...)
L’Épouseur de familleThéophile Gautier L’épouseur de familleFuit la filleQui n’a pour dot qu’un cuSans écu.Aussi, (continuer...)
L’éternelle vengeanceRenée Vivien Dalila, courtisane au front mystérieux,Aux mains de sortilège et de ruse, aux (continuer...)
MignonneStéphane Mallarmé Mignonne, sais-tu qu'on me blâmeDe t'aimer comme je le fais ?On dit que cela, (continuer...)
Morale en raccourciPaul Verlaine Une tête blonde et de grâce pâmée,Sous un cou roucouleur de beaux tétons (continuer...)
Musée secretThéophile Gautier Des déesses et des mortellesQuand ils font voir les charmes nusLes sculpteurs (continuer...)
Odelette à une jeune maîtressePierre de Ronsard Pourquoy comme une jeune poutreDe travers guignes tu vers moy ?Pourquoy farouche (continuer...)
Õommage dûPaul Verlaine Je suis couché tout de mon long sur son lit frais :Il fait grand jour ; c’est (continuer...)
Partie carréePaul Verlaine Chute des reins, chute du rêve enfantin d’être sage,Fesses, trône adoré (continuer...)
Plût-il à Dieu n’avoir jamais tâtéPierre de Ronsard Plût-il à Dieu n'avoir jamais tâtéSi follement le tétin de m'amie !Sans (continuer...)
PolissonnerieVoltaire Je cherche un petit bois touffu,Que vous portez, Aminthe,Qui couvre, s'il n'est (continuer...)
Pour RitaPaul Verlaine J’abomine une femme maigre,Pourtant je t’adore, ô Rita,Avec tes lèvres (continuer...)
Première soiréeArthur Rimbaud Elle était fort déshabilléeEt de grands arbres indiscretsAux vitres jetaient (continuer...)
Prête aux baisers résurrecteursPaul Eluard Pauvre je ne peux pas vivre dans l’ignoranceIl me faut voir entendre et abuserT’entendre (continuer...)
RedditionPaul Verlaine Je suis foutu. Tu m’as vaincu.Je n’aime plus que ton gros cuTant baisé, (continuer...)
RégalsPaul Verlaine Croise tes cuisses sur ma têteDe façon à ce que ma langue,Taisant toute (continuer...)
Tableau populairePaul Verlaine L’apprenti point trop maigrelet, quinze ans, pas beau,Gentil dans sa rudesse (continuer...)
Une femme m’attendWalt Whitman Une femme m’attend, elle contient tout, rien n’y manque;Mais tout manquerait, (continuer...)
Une négresseStéphane Mallarmé Une négresse par le démon secouéeVeut goûter une enfant triste de fruits nouveauxEt (continuer...)
Vas unguentatumPaul Verlaine Admire la brèche moiréeEt le ton rose-blanc qu’y metLa trace encor de mon (continuer...)