Marie Krysinska, poèmes et poésie

Ariane

À Jean Moréas.
Trêve aux plaintes, assez de sanglots;
Ce triste cœur est (continuer...)

À Maurice Vaucaire.
Qu’elles sont cruelles et lentes, les heures !
Et qu’il (continuer...)

À Charles Henry
Sur le gazon déverdi, passent - comme un troupeau d’oiseaux (continuer...)

À Maurice Isabey.
Ève au corps ingénu lasse de jeux charmants
Avec les biches (continuer...)

Les Talons
Vont
D'un train d'enfer,
Sur le sable blond,
Les Talons
Vont
D'un (continuer...)

À Raoul Gineste
De la lande attristée vers le ciel d’or glorieux
Monte la (continuer...)

À Maurice Rollinat
Il agonise, l’oiseau crucifié, l’oiseau crucifié sur (continuer...)

À Georges Duval
Je rêvais que je me promenais en un jardin merveilleux.
Dans (continuer...)

À Georges Lorin.
Longtemps après que toute vie
Sur la terre veuve aura cessé,
Les (continuer...)

À Georges d'Esparbés.
Le firmament luit comme un cimeterre
Et les routes sont (continuer...)

À Louis Forain.
Un boudoir cossu :
Les meubles, les tentures et les œuvres (continuer...)

À Charles de Sivry.
Dans le Parc, dans le Parc les glycines frissonnent,
Etirant (continuer...)

À Madame Dardoize
Je veux m’endormir dans le parfum des roses fanées, des sachets (continuer...)

À Rodolphe Salis.
Plus d'ardentes lueurs sur le ciel alourdi,
Qui semble tristement (continuer...)

Ah! pourquoi de vos yeux
Tant appeler mes yeux,
Et pourquoi d’une folle étreinte (continuer...)

À E. Mesplés
Vous êtes la grâce jeune des matins
Et le clair rire des flûtes (continuer...)