Isaac Lerutan, poèmes et poésie

Feuilles volantes

Le ciel se fait lourd quand râlent les pupitres
Annonçant dans la cour un vide (continuer...)

Gloire à celui qui sous le feu de l'existence
Donna sens à la vie et à ses plaisirs (continuer...)

Je traverserai les villes
J'emporterai ta voix
J'irai chercher le feu dans le (continuer...)

Le voile de nos richesses lentement se dépose
sur le nuage absent des ombres hallucinées
Sensible (continuer...)

La balle bleue se meurt, s’enterre ou prend des rides
Qu’importe ! dit la nuit, (continuer...)

Les aiguilles se lamentent et je trompe le temps
Les époques sont des impostures
Les (continuer...)

Le corps recouvert de peinture
La peau fragile comme une toile
Le dos collé (continuer...)

Que les adeptes avides se pourlèchent la face
et que les demi-dieux s'enivrent (continuer...)

Pourquoi le ciel se doit de nous couper de l'aube
et nous empoisonner dès le premier (continuer...)

L'être de chair et d'os par lequel je répands,
En de modestes verbes, l'instinct (continuer...)

De grâce, n'allez point retenir cette horloge !
Sachez que vos éloges me rendent (continuer...)

Sous nos cuirs inégaux que l'on recouvre à souhait
de tissus et de peaux, se (continuer...)

votre mystère est double tant vos yeux vont de pair
avec vos élans insidieux, (continuer...)

Entendez-vous ce cri ? Inclassable, mouvant
Il vient de ces déserts que la pluie (continuer...)

- non, je ne suis pas fou ! disait la vague à l'âme
je suis juste surpris d'avoir (continuer...)

Qu'importe si la nuit m'emportera le souffle
sur les chemins de l'âme, je rêverai, (continuer...)