Travaillez, prenez de la peine :
C’est le fonds qui manque le moins.
Un riche Laboureur, sentant sa mort prochaine,
Fit venir ses enfants, leur parla sans témoins.
Gardez-vous, leur dit-il, de vendre l’héritage
Que nous ont laissé nos parents.
Un trésor est caché dedans.
Je ne sais pas l’endroit ; mais un peu de courage
Vous le fera trouver, vous en viendrez à bout.
Remuez votre champ dès qu’on aura fait l’Oût.
Creusez, fouiller, bêchez ; ne laissez nulle place
Où la main ne passe et repasse.
Le père mort, les fils vous retournent le champ
Deçà, delà, partout ; si bien qu’au bout de l’an
Il en rapporta davantage.
D’argent, point de caché. Mais le père fut sage
De leur montrer avant sa mort
Que le travail est un trésor.
Jean de La Fontaine
« Travaillez, prenez de la peine :
C’est le fonds qui manque le moins. »
« Que le travail est un trésor. »
Merci Jean de La Fontaine pour ce texte qui demeure toujours d’actualité.
Lorsque nous comprenons cette fable d’une manière littéraire, ça nous reveille, surtout nous les jeunes d’aujourd’hui qui n’aimons point travailler et de la Fontaine conclut en disant le travail est un tresor (richesse, l’argent).
Cette fable de la Fontaine, je la considère comme une nourriture appétissante pour le ventre affamé.
J’ai appris cette « fabuleuse » Fable de La Fontaine en classe de 7ème. Cela faisait partie de ces moments consacrés à l’époque à la « morale » (qui n’a jamais été un gros mot pour moi, j’ai 74 ans). Je la sais toujours et elle ne m’a jamais quitté. Elle fait partie de la « culture »… que j’ai essayé de transmettre à mes enfants. Heureusement ! car ce n’est pas l’école de la République qui s’en est chargée… Elle traverse l’éternel présent, tous les âges et tous les courants de pensées, même les plus sordides ne peuvent y résister… c’est une chance.
Bonsoir. Je voudrais savoir si quelqu’un a une explication sur ces vers:
Un riche Laboureur…. fit venir ses « enfants »…
Le Père mort, « les fils » vous retournent le champ…
Est-ce une consecration du dur labeur aux seuls hommes?
Du reste j’aime énormement cette fable, elle m’encourage chaque fois que je brule mes huiles de nuit.
Pour renforcer la Fable de la Fontaine, je pourrais dire en d’autres termes: Aide-toi et le Ciel t’aidera, soutiens-toi et le ciel te soutiendra, appuie-toi et le ciel t’appuiera, donne-toi et le ciel te donnera.
La Republique Centrafricaine te dit merci à la Fontaine. Seul le travail libère.
Plaisir de le relire, je l’ai appris en CM1. C’est resté en moi jusqu’au aujourd’hui. J’ai inculqué ces valeurs à mes enfants.
Quand je lis cette poésie je sens beaucoup d’émotions en moi qui essayent de s’exprimer. Émotions de joie.
C’est pour nous montrer, que c’est avec des mains noirs qu’on mange du pain blanc.
J’ai vraiment aimé ce poème surtout ces deux phrase :
– Travaillez, prenez de la peine :
– Je ne sais pas l’endroit ; mais un peu de courage
Vous le fera trouver, vous en viendrez à bout.
Je trouve en ces mots le courage, la persévérance. Car vaincre sans péril on triomphe sans gloire.
Ceci est plus qu’un poème car il a un sens profond du jour au lendemain et bâti une forteresse imprenable à l’oisiveté mais engendre un désir et un attachement profond à la richesse champêtre.
Il faut que la notion du travail retrouve tout son sens partout dans le monde.
Je reste sans mots face à cette Fable qui traverse les temps et époques. Hommage soit rendu à La fontaine pour toutes ces Fables aussi riches que variées et par ricochet Esope.
Grands enseignants, Morales de vie qui ont forgé et forgent encore les consciences sur plusieurs générations.
*Classe de Première A, véritable rentre avec le recueil complet des Fables dans mon petit Lycée à l’ouest de la Côte d’Ivoire. Bangolo, souvenirs enrichissants et éternels.
J’aime vraiment ce poème car ça permet à un homme d’avoir du courage pour le travail.
Pour Thimmy du 23 avril 2020 : tu as raison à aucun moment le père n’avoue que le travail est un trésor, il fait plus que l’avouer > » il le montre » et démontre en même temps sa part plus que verbale qui est active par sa démarche et son apport à faire découvrir ce qu’est le vrai bon travail puisque en soi il est aussi une terre, un champ avec encore plus de fonds pour découvrir les véritables richesses, celles qui sont durables et qui commencent par le mental pour ensuite sortir et jaillir comme des sources d’eau vive pour améliorer des situations qui semblent sans espoir et qui semblent vouées à l’échec alors que la réussite est si proche de soi et du coup en même temps une part pour les autres se répand !
Bonjour, j’adore ce poème. Je l’ai appris au collège en Algérie et je le connais par cœur ❣ Mon prof M. HASNAOUI à Tlemcen, et oui
Bonjour ! Moi, je veux savoir les passages qui comportent la description et celles de la narration.
J’aime bien ce poème et depuis l’enfance je le connaissais déjà. Rien n’est facile dans la vie. Il faut travailler, se battre pour arriver au sommet. Ne jamais baisser les bras d’avoir foi en Dieu et en soi même tout est possible en celui qui croit.
J’aime beaucoup cette fable qui me rappelle mon enfance. C’est une leçon qui reste gravée à vie dans nos coeurs…
J’aime beaucoup la dernière strophe: *Mais le Père fut sage de leur montrer avant sa mort, que le travail est un tresor*
Super !
Je suis emu, ça me fait penser à mon père qui était enseignent à Dinguiraye.
Quelles valeurs sont ici associées au travail ? S’il vous plait, pouvez-vous m’aider pour cette question ?
Réponse à Cépamoi. J’ai comme l’impression que vous n’avez pas bien lu. À aucun moment le père laboureur avoue à ses enfants que le travail est un trésor. Je vous invite à relire ce poème. Et si vous voulez on pourra faire la critique ensemble.
Je trouve ce poème toujours d’actualité, surtout pertinent en ces temps où le concept d’entrepreneuriat a le vent en poupe. Du coup, par « C’est le fonds qui manque le moins » j’entends le manque de fonds d’investissement, de capital initial à investir dans une Start-up.
En effet, bien souvent les gens se font trop de souci au sujet de la question de savoir d’où leur viendra l’argent pour lancer leur idée de business. D’aucuns se laissent même paralyser par le manque de capitaux et voient leurs projets enfouis dans le tiroir des oubliettes. Voilà pourquoi « Travaillez, prenez de la peine » est à la fois un encouragement et un rappel qu’il suffit de s’y lancer, avec les moyens de bord, avec persévérance et abnégation. Non seulement cet effort initial est en soi un investissement capital (c’est-à-dire important), mais aussi et surtout, l’effort soutenu finit toujours par payer, soit avec un ou des investisseurs qui finissent par être intéressés à investir, soit avec des recettes et des profits au bout du tunnel pour l’entrepreneur qui s’y est mis corps et âme.
J’en pleure chaque fois que j’y pense et que je travaille mon jardin. Prémonitoire, bon sens… Chacun peut en penser ce qu’il veut… Moi je me souviens de mes parents et de ma jeunesse.
Marc, merci de m’avoir répondu ! Votre explication m’est très utile
J’ai toujours en mémoire cette récitation pour répondre le mot de notre vie scolaire quand j étais en primaire et aussi au collège. C’est l’une des poésies qui m’est restée en mémoire que, d’ailleurs dans ce temps de confinement, j’ai eu l’occasion de lire et expliquer à mes enfants. Chapeau à Jean de la Fontaine !
Réponse à Paula :
« Travaillez, prenez de la peine » pourrait se dire : donnez vous du mal ou faites des efforts.
« C’est le fonds qui manque le moins », le fonds veut dire les biens ou valeurs.
En somme, ces deux vers veulent dire que le travail est la richesse la plus importante. Plus personne ne parle de cette manière… et de nombreux français seraient bien incapables de donner le sens de ces vers.
Vous maniez le français très correctement, je vous félicite. Juste une petite chose, on ne dit pas étudiante « du » français mais « en » français.
Bonjour ! Je suis une étudiante du français comme langue étangère. Je dois faire une traduction des deux premiers vers de ce poème mais je n’arrive pas à comprendre le sens littéral. Quelqu’un pourrait, plus ou moins, me l’indiquer ? Merci 🙂
Très heureux de retrouver cette fable et les commentaires très touchants de cette grande confrérie francophone à travers le monde. Moi aussi je l’ai apprise pour le certificat, écrite sur un cahier bien illustré et à ma grande surprise, l’inspecteur après s’être cassé la figure en montant sur la table, a proclamé les résultats que j’ai dû du mal à croire, vu l’état de perturbation. C’est alors que j’ai vu mon ancien instituteur se précipiter sur moi, c’était son jour de gloire. Pour moi la route allait être longue et difficile. A 78 ans je défens toujours le bien commun et cherche à terminer à tout prix une livre de maths app qui doit permettre de mieux faire des recherches expérimentales, comme un vrai laboureur, sur les trésors de la Terre.
Apprise en 8eme année, ça reste gravé au fonds de mon cœur. Conseil de sagesse qui inspire surtout nous les jeunes.
Ce poème je l’ai appris en 1967 à l’école maternelle de Khemis el Khachna (Fondouk) Algerie, maintenant j’ai 62 ans j’aime ce poème parce que mon père été laboureur ca me rappelle mon enfance j’ai envie de pleurer.
C’est à 45 ans que je découvre la profondeur de ce poème. Vaut mieux tard que jamais. Labourons le champ, un trésor est caché dedans.
Je ne peux jamais oublier ce poème… Il est mon point d’appui et je l’enseigne à mes élèves.
Ce poème le peuple algérien en entier devrait le connaitre et comprendre que le Travail est un tresor.
Merci beaucoup pour pour ce poème. Je l’aime bien.
Cette poésie je l’ai récitée pour mon examen de CEP. C’était trop cool. J’étais même allé avec une houe pour accompagner de gestes et de sentiments dans ce que je disais quand je me rappel. C’était trop cool, j’aime toujours.
J’adore! Magnifique!
Ce poème est génial! Maintenant je sais que le travail est un trésor. Merci aussi a ma prof de français qui m’a fait petit à petit aimer le français. Merci beaucoup !
On l’avait appris par coeur mais étant petit on ne comprenait rien à rien, et les maîtres et maîtresses français ne nous expliquaient pas. C’est une fois grands que nous avons compris la morale.
Ce qui est étonnant c’est que ce poème a trouvé un écho en Afrique et dans le monde. Je l’ai lue devant un groupe de divers pays et chacun s’est souvenu de son enfance. Formidable. La vraie éducation.
Bonjour, un truc ne tient pas la route ! Le père dit qu’il y a un trésor caché (pourquoi ne l’a t-il jamais sorti d’ailleurs ?). A sa mort les fils creusent comme des fous alors que le père leur a déjà avoué que c’était le travail qui était un trésor. La motivation d’un trésor caché n’a donc plus aucun intérêt. Le fond est bon mais la chute est nulle !
Sans travail, tu n’arrives à rien et tu ne laisseras rien devant ni derrière toi. Tu n’auras pas existé.
C’est génial
Vraiment ça m’a fait beaucoup de plaisir.
Le français et ses belles lettres se perd. Pourquoi aujourd’hui, nous impose t-on un français issu de la rue et de ses quartiers? Je pensais que le propre de l’homme était de s’élever et non subir un nivelement par le bas. La morale de ce poème est de considérer le travail comme une vertu, un héritage comme une valeur digne de notre respect qui mérite toute notre attention. Donc revenons à ces valeurs et au français de nos pères.
Le travail est un tresor
Tro cool ❤
A chaque fois que je regardais les champs de blé des orangeries des palmeries etc ce poème me reviens dans la mémoire
Formidable! Ces poésies sont des récits qui vont rester graver dans nos coeurs. Ils sont légions, « Un songe » » Le corbeau et le renard » « La cigale et la fourmie » et j’en passe. Mes enseignants oh! Les maîtres et les maîtresses… les miens que sont Adoun, Pierre, Logo, julienne… Je pense encore à eux. Faisons comme eux et enseignons nos enfants l’art de la poésie et de la parole…
Un poème plein de leçons. Ça motive bien pour le travail.
Aidez moi à comprendre la conjugaison dans ce vers: Le père mort, les fils vous retournent le champ.
Le travail est un trésor
La vérité reste toujours vraie. Quand nous apprenions ce poème et tant d’autres nous étions tout petit et aujourd’hui en tant qu’instituteur c’est le seul poème qui me reste en mémoire. Je l’enseigne à mes élèves et j’y prends toujours plaisir.
J’essaie de transmettre un peu de français à un ami italien, je compte sur Jean de la Fontaine pour m’aider!
Je me suis rappeler de ce poème et quand je voulais le réciter quelques mots n’ont échappés vu que je ne l’avait jamais appris en classe seulement auprès des collègues lorsque ils récitaient moi aussi je répétais. C’est vraiment un bon poème.
Rien de plus émouvant et de plus motivant que de lire ces fameux vers
Un poème qui est plein de signification ça me rappel de l’école primaire, je remercie l’auteur qui a laissé un héritage pour l’humanité.
Un poème émouvant et constructeur des valeurs des grands hommes. Je l’ai lu dans les années 1979. Quel merveilleux souvenir?
Les enseignements de ce poème, vont au-delà des apparences pour nous conduire sur les sentiers purement spirituels. En le relisant, on s’en aperçoit un peu plus vite…
Quelle joie! Quelle retrouvaille! Nostalgia! Beau souvenir! Bel épôque! Charmant! Amitiés inondées de lumières, conseils et orientations de mes sages parents et instituteurs de l’ École Primaire de Mwana-Muyombo, Paroisse de Kingunda, de la contrée de Kingete, zone de Kasongo-Lunda, située dans la région de Bandundu. Comment pourrais-je oublie les enseignements sévères de mes instituteurs comme Mr Jean Kasongo, Médard, ya Moni Dorethée.. Ya Ngolozaku Nsindu, Tsibante Corneil… En effet, les enseignements reçus de tous ces sages hommes et femmes sous un soleil brilliant de la Sagesse, de l’ Intelligence et de la Prudence ont fait de moi d’ une personne honête, sage et disciplinée grâce aux lectures, recitations théâtrales de Jean de La Fontaine, Antoine de Saint-Exipéry, Emile Zola, les récits de Tam Tam Afrique, etc. Quelle Bonne et meilleure, la nôtre! Quelle formation humaine! Grâce à la langue française! Maintenant en Colombie où je me vis il y a belle lurette, les chansons, les poèmes, les morceaux de pièces théâtrales, Les Choristes,… sont toujours présents dans les salons de classe de Uniminuto où je donne cours il y a plus de cinq…
Oui le beau poème, la belle leçon retenue, la morale tirée des conseils du père et surtout nos maîtres de l’époque qui nous choisissent ces poèmes qui ont leur pesés en or dans la langue Française. Je salue mon maître Monsieur Bernouci Abdesslam qui a toujours était un bon maître dans toutes les matières qui nous a dispensé, c’était dans les années 1964 à l’école Guessous du quartier les Orangers à Rabat, MAROC. Je n’ai gardé que des bons souvenirs de cette école et de ses maîtres qui étaient des géants dans leur noble métier. Monsieur Bernouci nous enseignait les matières en Français, durant toute l’année scolaire il ne s’est jamais adressé à nous en une autre langue que le Français, on croyait qu’il ne parlait notre langue maternelle. Qu’elle était notre surprise quand à la fin de l’année scolaire en Juin au moment de nos adieux car c’était notre dernière année dans cet établissement, nous passions au collège, il nous a parlait en notre dialecte maternelle.
Une poésie qui me rappelle mon école primaire et qui, aujourd’hui, me motive à travailler dur pour la survie de mes enfants, tout en leur apprenant, comme nous l’enseigne ce poème, que le travail reste la source de toute réussite.
Ça me rappelle mon instituteur de français Mr Rabah Touchel que Dieu ait son âme qui nous apprenait ce poème il y’a à peu près 40 ans …..
Tout ça me rappelle mon enfance, mon école, ma maîtresse et quelque fois j’ai les larmes aux yeux.
Excellant poème. Cela me rappelle mes premiers pas d’écolier. Mes amis et camarades d’enfance et surtout notre chère enseignante mademoiselle Faredhab de l’école lycée colonel abbés à Maghnia. La classe de CM2, c’était vraiment le bon temps…
J’aime
Ça me rappelle mon père qui venait de réciter cela ce matin. Rien n’est plus bon que la poésie.
Tous ces derniers jours je pense à cette fable et je l’ai relue pour me souvenir de tous les vers. J’ai bien envie de le lire à mon petit fils de 15 ans, lui qui n’est pas motivé en classe, pas concentré, pas persévérant pour deux sous. Il ne s’intéresse qu’aux copains, à ses jeux vidéo et à son iPhone. Dire que je lui avais enseigné la lecture à quatre ans avec le Bocher… j’ai 76 ans, je ne suis que la grand-mère. Merci quand même, La Fontaine
Merci à tous ceux qui ont aimé ce poème. Oui le travail est un trésor vraiment.
Bonjour à ceux qui lisent ce commentaire simple et qui me rappelle mon enfance, c’est à dire, l’âge de cinq ans, c’était ma première année à l’école primaire de Zadezas, et ce en 1960. Dans le temps, j’ai pensé que dans le champs se trouvera un vrai trésor. Alors que le trésor c’était le labour « le travail de la terre ». Merci beaucoup à Madame Erôle mon instituteur. C’est magnifique comme héritage de ce père qui a vu sa mort venir, puis à laisser derrière lui, ses enfants et aussi un trésor aux reste du monde du travail. Mille merci…
Superbe texte indémodable. Transcende le temps et l’espace
Divine inspiration
Cela me rappelle toujours les classes primaires. Mais j’ai ensuite fait les lettres, et ce Monsieur Victor m’est toujours formidable car je l’adore beaucoup et je connais presque tous ces poèmes en tête. Chose étonnante ce matin mon papa de 70 ans vient de me réciter entièrement Le Laboureur et ses Enfants…
Pour moi, il y a rien de mieux qu’une poésie de Jean de la Fontaine pour apprendre à mieux éduquer les enfants. Cela fait maintenant 15 ans que je la connais par coeur.
Ça me rappelle mon école primaire à Guet Ndar – Saint-Louis- Sénégal. C’est la récitation que j’avais faite à l’examen du CEPE en 1976.
Je viens d’utiliser cette Fable dans mon devoir d’Economies Générales. Vraiment très content de savoir que de nombreuses vies ont mangé le fruit de cet écrivain. Je vais jamais oublier ma grande mère qui m’a fait connaître cette Fable.
Devant la paresse de ma fille, j’ai dû « internauter » pour lui rappeler par cette fable l’importance du travail.
Le père ne garde jamais vos bien pour vous…