Alphonse Daudet, poèmes et poésie

À Célimène

Je ne vous aime pas, ô blonde Célimène,
Et si vous l’avez cru quelque temps, (continuer...)

Croyez-moi, mignonne, avec l’amourette
Que nous gaspillons à deux, chaque jour
(Ne (continuer...)

Lorsque je vivais loin de vous,
Toujours triste, toujours en larmes,
Pour mon (continuer...)

Enfants d’un jour, ô nouveau-nés,
Petites bouches, petits nez,
Petites lèvres (continuer...)

A l’heure d’amour, l’autre soir,
La Mort près de moi vint s’asseoir ;
S’asseoir, (continuer...)

Je n’ai plus ni foi ni croyance !
Il n’est pas de fruit défendu
Que ma dent (continuer...)

Elle rêve, la jeune femme !
L’œil alangui, les bras pendants,
Elle rêve, (continuer...)

Dans ses langes blancs, fraîchement cousus,
La vierge berçait son enfant-Jésus.
Lui, (continuer...)

MORT D’ALFRED DE MUSSET
Nature de rêveur, tempérament d’artiste,
Il (continuer...)

Alors Hérode envoya tuer dans Bethléem
Et dans les pays d’alentour les enfants (continuer...)

I
Un soir que je rêvais dans ma chambre, déserte
Depuis sa mort,
Un oisillon (continuer...)

…Ce bruit charmant des talons qui
résonnent sur le parquet : clic ! clac ! est
le (continuer...)

I
Vous souvient-il un peu de ce que vous disiez,
Mignonne, au temps des cerisiers (continuer...)

I
Si vous voulez savoir comment
Nous nous aimâmes pour des prunes,
Je vous (continuer...)

Miserere !
Encore une fois, ma colombe,
O mon beau trésor adoré,
Viens t’agenouiller (continuer...)

Lorsque l’homme pleura sa première chimère,
Moins impassible qu’aujourd’hui,
La (continuer...)

Je l’ai rencontrée un jour de vendange,
La jupe troussée et le pied mignon (continuer...)