Le Pont Mirabeau

Guillaume Apollinaire

Sous le pont Mirabeau coule la Seine
Et nos amours
Faut-il qu’il m’en souvienne
La joie venait toujours après la peine

Vienne la nuit sonne l’heure
Les jours s’en vont je demeure

Les mains dans les mains restons face à face
Tandis que sous
Le pont de nos bras passe
Des éternels regards l’onde si lasse

Vienne la nuit sonne l’heure
Les jours s’en vont je demeure

L’amour s’en va comme cette eau courante
L’amour s’en va
Comme la vie est lente
Et comme l’Espérance est violente

Vienne la nuit sonne l’heure
Les jours s’en vont je demeure

Passent les jours et passent les semaines
Ni temps passé
Ni les amours reviennent
Sous le pont Mirabeau coule la Seine

Vienne la nuit sonne l’heure
Les jours s’en vont je demeure

Guillaume Apollinaire, Alcools, 1913

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134 commentaires sur “Le Pont Mirabeau”

  1. Gargam Pierrick

    dit :

    Amoureux de la poésie et des jeux de mots, je me mettais à penser qu’en regardant la seine deux regards amoureux s’y lassent et s’en lassent inlassablement. Mais peut-être sont-ils sur la même longueur d’onde !?

    Ne dit-on pas qu’aimer c’est deux regards qui convergent vers la même direction….

  2. J.P. Sam Ilunga

    dit :

    Rien qui ne passe, à la manière de l’onde, les choses précieuses-mêmes — comme l’amour : cela est pénible mais, tant qu’on demeure, la joie revient toujours, l’espérance étant phénix !

  3. Richard

    dit :

    Premier contact avec ce poème l’année du bac, en 78 pour moi ! Difficile de saisir à 17 ans la subtilité d’un grand poète de 33 ans au moment de la rédaction ! J’en retiens à 60 ans passés l’image du diamant sur le microsillon, le diamant est fixé, alors que défile sous lui le cours de la chanson et de ses émotions. Point de retour en arrière possible, coule la Seine, et nos Amours …

  4. Medard Landry

    dit :

    J’ai passé beaucoup de temps à vouloir comprendre ce poème en classe de terminale en 2013 au Cameroun mais sincèrement j’en ai bavé

  5. Deyclan

    dit :

    Je dois apprendre cette poésie en 2 jours mais elle est si simple avec une histoire si complexe.

  6. Bob Neurone

    dit :

    @GUINDOSS, ce poème évoque l’amour contrarié et une espérance déçue et certainement pas l’infidélité que vous interprétez.

  7. Bob Neurone

    dit :

    Ce fut un grand moment de solitude sur ce poème au bac de français dans les années 70. Sans avoir vécu et souffert le frisson de l’amour, difficile de faire des associations et je passe sur l’analyse technique de la versification. Comme chantait Brassens: quand « on est con, on est con ». Parfois, heureusement « le temps fait quelque chose à l’affaire… »

  8. Denis

    dit :

    J’ai été interrogé sur ce poème pour mon bac de français en 1983. Ce fût un grand moment de poésie ! Alors que c’est un si beau texte.

  9. Suss semabyte

    dit :

    Si émouvant

  10. Le corbeau

    dit :

    Je dois apprendre ce poème mais je ne comprends rien…

  11. Khadija b a

    dit :

    On doit apprendre ce poème. C’est un honneur.

  12. lefrançois

    dit :

    La beauté ne se décrit pas, les mots sont vulgaires face à cet absolu qui dépasse l’homme, on devient muet de bonheur : Merci Monsieur Apollinaire.

  13. Nicole Touvron

    dit :

    Léo Ferré aussi a mis ce poème énigmatique en musique et l’a chanté magnifiquement.

  14. Linda

    dit :

    Notre professeur nous a demandé de mémoriser cette poésie, je me suis ennuyé, mais quand je l’ai lu, je l’ai vraiment aimé, j’ai vraiment adoré.

  15. Alain BARTHE

    dit :

    Et si dans l’instant soudain figé d’un Amour éblouissant résidait l’éternité du paradis perdu ? Le temps qui passe dissout l’amour comme l’eau dissout lentement le galet de la rivière. Comment voulez-vous ne pas vouloir tuer le temps ?

  16. florien

    dit :

    J’aime ce poème car quand je le lis je m’évanouie dans ce poème. Je imagine le grand amour que j’aurais plus tard ou cette femme me briseras le coeur où si c’est la bonne je passerais ma vie avec… Et j’aurais trouvé le bonheur le plus intense que l’on peut avoir dans une vie si courte. J’espère de tout mon coeur trouver celle qui m’aimera à la folie…

  17. Aziz CHAOUCH

    dit :

    Sur le pont Mirabeau
    Sur le pont
    Merveilleux
    Mirabeau
    Mystérieux
    Nos fantômes
    Sont si beaux

    Et la Seine
    Qui ruisselle
    Fait de l’eau
    Des ficelles
    Et des pierres
    Des sabots…

    Aziz CHAOUCH (BEN AZZOUZ/ALGERIE, la nuit du 26/01/2023)…

  18. bloubloute

    dit :

    Ce poème fait claudiquer mon esprit et remue les tréfonds de mon âme, que dois je faire ?

  19. Maël

    dit :

    Cool à comprendre et à décrypter pour un poème du 20 eme siécle !

  20. LE SANG

    dit :

    C’est beau mais long à apprendre car c’est long et difficile à apprendre.

  21. Nawelle

    dit :

    Trop beau pour les oreilles, les yeux, le cerveau. La poésie transporte l’âme et le corps dans l’univers de l’amour, le plus beau que l’homme peut connaître. Nawelle cherifa

  22. Bordier

    dit :

    Ce poème je l’avais appris à l école primaire il y a 40 ans et c’est le seul que je n’ai pas oublié, car il est sans doute le plus beau ❤️

  23. Elijah Macbeth

    dit :

    Je pense que c’est mon poème préféré de tous, il me touche à un point, c’est indescriptible. Il a une signification précieuse et je me souviens que lors de ma première lecture, j’en ai eu les larmes aux yeux. La perte d’une personne qu’on aime et l’espoir qu’elle revienne y est si bien retranscrite. Cette façon de dire que quoi qu’il advienne, le locuteur attendra son amour. Ce poème est une vraie preuve d’amour même quand pour l’un, cet amour ne suffisait pas pour rester au côté de l’autre.

  24. Nab oth

    dit :

    C’est joli.

  25. OLIVIER

    dit :

    « les jours s’en vont, je demeure » à 88 ans je me le redis souvent « passent les jours et passent les années »

  26. Kashindi denis kdp

    dit :

    Touchant

  27. Force à vous pour le bac

    dit :

    Ce si doux poème me fait repenser à mon ex et surtout au fameux couplet de Sébastien Patoche dans le titre « et quand il pete il troue son slip ».

  28. Chavinax dans l’axe

    dit :

    Je travail dessus et en vrai, moi qui déteste les poèmes, le trouve très intéressant

  29. Christian Omoko

    dit :

    C’et l’un des plus riches poèmes en figures de style qu’il m’a été donné de lire. Trois champs lexicaux y dominent: le temps, l’eau et les sentiments. L’auteur met en évidence la difficulté que l’Homme a à exercer une emprise sur ces trois éléments. Mais à la différence du temps qui passe ou de l’eau qui coule, les sentiments quant à eux n’évoluent que très peu et c’est là toute la souffrance qu’exprime l’émetteur dans ce poème: devoir vivre avec ce ressenti, sa mélancolie d’un amour non abouti, autrement dit d’une passion qui ne s’est jamais épanouie ou du moins pas entièrement.

  30. Namon

    dit :

    Perso je suis amoureuse d’un garçon et je suis en 6eme. A chaque fois que j’entend ce poème ou la chanson de Marc Lavoine, je ne peux pas m’empêcher de penser qu’il ne m’aimera surement jamais…

  31. LUC COMEAU-MONTASSE

    dit :

    L’écoute du poème lu par son auteur montre que la ponctuation absente un accord pluriel non fait. Sont des choix assumés de l’auteur. G.A. a écrit une version courte, compactée, sous-titrée SDF « Sous le pont mirabeau, je demeure ! »

  32. Marie-Louise Glissant

    dit :

    J’étais à la Martinique, j’avais 12 ans et je m’imaginais un amoureux malheureux car délaissé par son amoureuse…..la Seine, le Pont Mirabeau….je fantasmais !…..

  33. Zahra

    dit :

    Nostalgique de ma classe de 6eme au Maroc exactement la ville de Berkane et c’était le vendredi de 16h a 17h on était cuit et ma prof de français elle était très autoritaire et très forte pour nous faire aimer toutes les poésies française. Pour que toute la classe l’apprenne par coeur on répétait ensemble à haute voix et j’imaginais la Seine entre deux amoureux sur le pont Mirabeau. Je n’avais aucune idée de ce qu’était la France. Vous imaginez ce qui se passe dans la tête d’une fille de 11 ans et je vous laisse deviner la suite quand le destin a voulu que je me marie et je viens dans ma petite ville française…

  34. Lou

    dit :

    Mon premier poème ! Pas de déception amoureuse, très jeune quand j’ai découvert ce poème… mais plutôt la vie lente et l’espérance violente.

  35. Artificier

    dit :

    @Mimi 41
    Je pense qu’il n’y a pas de faute. Comme vous l’avez sans doute vu, Apollinaire a supprimé toute ponctuation. Par ailleurs, jeune, il était excellent élève. Il faut donc croire (et lui donner le bénéfice du doute) que cette orthographe est volontaire. Elle participe des sens masqués du poème, de son rythme particulier que soulignent l’absence de ponctuation et le fait de couper les décasyllabes des vers 2 et 3 de chaque strophe en deux « demi vers » de 4 et 6 pieds. Apollinaire laisse volontairement le choix à son lecteur de comprendre le poème à l’aune de ses propres sentiments, il écrit les notes de la partition mais nous laisse écrire les mesures.

  36. Mimi 41

    dit :

    Sous le pont Mirabeau coulent la Seine et nos amours (il y a deux sujets). Nos grands auteurs font parfois de petites fautes.

  37. maxime

    dit :

    Personnellement je trouve ce poème incroyable car au fur et à mesure que je l’étudie pour le bac je comprend de plus en plus et je fais de plus en plus de liaisons entre tout et tout se raccorde et c’est ça que je trouve incroyable dans ce texte.

  38. Emmanuel macron

    dit :

    Ma prof l’a adoré.

  39. Chambre 122

    dit :

    Pas mal

  40. à [x]

    dit :

    C’est un poème qui nous fait penser au temps qu’on a perdu en le lisant et aussi au fait que si des élèves innovaient leur propre poème, le cours serait beaucoup plus intéressant et les élèves, beaucoup plus joyeux (faites nous innover des poèmes en classes au lieu de commenter de vieux poèmes) et faites un sondage pour savoir qui préfère innover ou qui préfère juste lire d’autres poèmes.

  41. Iiiiiii

    dit :

    Super poème !

  42. sac bleu

    dit :

    Wow le fait que tout le monde comprenne ce poème me rend si unique… je suis moi aussi tellement émue de ne rien y comprendre.

  43. Jean marc

    dit :

    Super poème, je l’adore.

  44. Jean-Luc

    dit :

    Je trouve que ce poème est juste magnifique. Il m’a trop aidé dans ma vie et je trouve qu’il illustre parfaitement ma déception amoureuse. Merci pour ce choix parfait.

  45. Clara Clara

    dit :

    Bonjour, est ce que quelqu’un peut me dire ce que le pont et l’amour représente dans ce poème? Je dois rendre un devoir mais je n’ai pas très bien compris. Merci!

  46. Adel

    dit :

    Super poème

  47. Clémence

    dit :

    Les thèmes dominants de ce poème sont la mélancolie « Et comme l’Espérance est violente » (v.16) et l’écoulement du temps, « Passent les jours et passent les semaines » (v.19). L’irréversibilité du temps qui passe est illustrée par la métaphore de l’eau qui s’écoule, « L’amour s’en va comme cette eau courante » (v.13).
    Le poète a été inspiré pour écrire ce poème en raison de sa déception face à son amour pour Marie Laurencin. Je trouve que ce poème casse les codes des relations amoureuses et des contes de fées que l’on peut s’imaginer à travers notre enfance. Cela montre une vision réaliste de la vie amoureuse. L’amour peut être destructeur et vénéneux, tout comme la passion et le bonheur. Je pense que quiconque a lu ce poème aura une opinion différente parce que nous n’avons pas tous la même vision de ce qu’est l’amour. Certaines personnes diront qu’ils vivent très bien sans, d’autre qu’ils ont été déçus, certains diront que ça leur à sauver la vie, ainsi de suite. En effet j’aime cet aspect de la réalité que le poète montre, que lorsque l’on aime passionnément et que la séparation par conséquent est cruelle, « la joie venait toujours après la peine » (v.4), « Ni les amours reviennent » (v.21). De plus j’aime le message final, que même si c’est douloureux il faut se relever et être encore plus fort pour affronter l’avenir car le temps répare les blessures du passé, « L’amour s’en va comme cette eau courante » (v.13), « Les jour s’en vont je demeure » (v.6).

  48. Tagro cemère

    dit :

    Super poème à étudier en classe.

  49. Le poète du 85

    dit :

    C’est beau…

  50. lucie

    dit :

    Perso, je suis une élève donc je n’aime pas trop, mais j’aimerais savoir si pour vous ce poème est triste ou teinté d’espoir car je le trouve triste mais un peu irréaliste.

  51. Alexandre Amine

    dit :

    C’est un super poème que j’ai adoré, il m’a fait rêver et penser à mes déceptions amoureuses à moi. C’est un poème auquel je me suis bien identifié. Je suis amoureux d’Apollinaire et de son style poétique. Et encore un grand merci à ma grande prof de français qui m’a fait découvrir ce poème.

  52. Djamila la beurette

    dit :

    Super poème…

  53. Le bareau de Bamako

    dit :

    Super poème, j’adore.

  54. Sylvère-Romain LABIS

    dit :

    J’avais étudié ce poëme en classe, il y a plus de soixante ans. J’avais rendu un devoir à ce propos. Mais je ne le reconnais pas tout à fait :

    Le texte que j’ai étudié comportait « Des masques sont silencieux… », phrase énigmatique qu’on ne trouve que chez « Marie ».

    Existe-t-il une autre version de ce poëme ?

  55. Sigmund Freud

    dit :

    Regrets et nostalgie de l’amour, ici tant passé, voici pour le premier quatrain. Du premier hémistiche « Le pont Mirabeau », coule déjà nos premières impressions. De la notion de solidité qu’apporte le pont métallique et de la reprise du pont d’Avignon, on peut deviner que l’auteur, met à la fois de la force là où elle n’est pas, et déjouer tente t-il, les forces de la nature. Le trajet qu’il emprunte pour rendre visite à sa belle passant par le fameux pont, se dévoile la notion personnelle, et l’amour de l’auteur pour la modernité. Aussi, dès les quatre premiers mots, le passé se trouve associé au présent. En effet, Mirabeau était un révolutionnaire et le pont neuf. La physiologie robuste du personnage insiste sur la solidité. Ainsi que les occlusives qui s’opposent aux liquides et nasales du deuxièmes hémistiche. Le deuxième hémistiche parlons-en. Les liquides de la fin de ce vers révèlent l’amour dans sa fuite. L’auteur se pense le pont, se trompe- il, puisqu’il se place ensuite comme la seine. Il fait confondre au lecteur la seine et le temps. Tous deux passe, rien ne les arrête, rien ne peut peut-être l’en changer. Un autre point moderne apparaît à l’œil du lecteur, l’ambiguïté des prochain vers. Les amours fuient-ils avec la Seine, ou alors, faut-il qu’il s’en souvienne, de ses amours? Le lecteur est confus pour la première fois dans l’histoire de cette manière si singulière. Le souvenir marquerait la volonté de la durée, de l’amour inoubliable, les amours échappés l’inéluctable. Pour le premiers Quatrain, le dernier vers permet de voire les sujets sentiments qui s’opposent, de plus que la peur perte du souvenir. Le déterminant étant un article défini mais pas un possessif, une généralisation est. Le vers parlant à toutes personnes, c’est aussi celui du lecteur, l’amour de l’auteur. On peut même voir un trait d’ironie dans le recul que prends l’auteur avec les mots « toujours après », mais revenons. L’expression populaire dirait « qui dit généralisation dit lyrisme », et lyrisme fut. Apollinaire, quelle élégie !

  56. Appollon

    dit :

    Top

  57. Mayol i Raynal

    dit :

    Réponse à Loulou

    Un commentaire de juillet 2014 « l’insomnie m’a emportée » donne une réponse à ta question. Accord total avec la réponse courtoise et bien mesurée à Fournier. Et merci aux auteurs de ce site qui m’ont permis de retrouver cet enchantement avec les deux premiers vers que j’avais en mémoire.

  58. Loulou maskame

    dit :

    Un poème rempli d’amour, et de sentiments, un poème fort émouvant. Mais puis-t’on savoir à qui s’adresse l’auteur ? Une femme, un homme, son ou sa bien aimé(e)? Un(e) proche, quelqu’un de famille, un ami, une connaissance perdu, quelqu’un de décédé ? Que devons nous comprendre entre ces deux personnes ? Était-ce un amour impossible? Ou une amitié forte ? Au fond y-a-t’il une explication ?

    Merci serait-ce possible me repondre?

  59. samar atia

    dit :

    Ce poème est très émouvant

  60. louloujuju04

    dit :

    On a vu mieux… pas très palpitant.

  61. Benjamin

    dit :

    J’aime énormément ce poème étudié en classe…

  62. MichouGaming

    dit :

    Quel poème ! Tant de sentiments transmis par l’auteur, qui nous permet de voir la profondeur de son âme, triste à cause de sa perte. Depuis le CM2, je pense jour et nuit à ce texte, autant pour son sens que pour son écriture. Merci, je pleure en pensant à ce texte.

  63. jjd7

    dit :

    Le voici cet hommage à l’immortalité, ou le poète parle par la voix de l’ange.

  64. Caroline benezet

    dit :

    J’adore cette poésie. Elle a été reprise par Marc Lavoine et franchement il a très bien repris.

  65. Louise Basse

    dit :

    Elle est cool cette poésie

  66. basse

    dit :

    J’adore. Tout le monde devrait l’apprendre, cette poésie.

  67. patricia quilly

    dit :

    C’est une chanson merveilleuse qui a été reprise par Marc Lavoine notre chouchou.

  68. Olga

    dit :

    Réponse à Fournier : Vous avez l’âge, les études, les diplômes. Vous êtes découragé… Prenez votre courage à deux mains, allez bénévolement aider ceux qui n’ont pas eu votre chance mais qui aiment la littérature, ceux que la poésie émeut. Vous leur expliquerez « honorer un auteur », « respecter des lecteurs ». Courage…

  69. Zouzou

    dit :

    Ce poème est particulièrement beau. On voit l’émotion qui en sort. Je vais l’étudier en fançais.

  70. Encore moi

    dit :

    Très beau

  71. Inconeni

    dit :

    Très beau poème en effet, je suis emporté par le refrain.

  72. Moi

    dit :

    C’est vraiment magnifique

  73. Monique carlicchi

    dit :

    C’est un poème mélodieux qui exprime l’amour qui est fini avec sa compagne.

  74. jacquie michel

    dit :

    Magnifique

  75. jacquie michel

    dit :

    très bo poème

  76. Clara

    dit :

    J’ai une question. Quelle autre personne est représente? Comment?

  77. Malaviole

    dit :

    Malgré le temps qui passe, les amours qui meurent, le spleen est transitoire, reste la violence de l’espérance et je demeure, égal à moi-même, l’espérance solidement ancrée au creux de mon désir de vivre! C’est ce magnifique appel à aimer la vie que j’adore dans ce poème d’Apollinaire. Et l’interprétation de Léo Ferré lui donne encore plus de féérie, d’envolée. Quel bonheur de pouvoir entendre ce poème. Quel cadeau ! Merci

  78. lébito

    dit :

    Dans quel poème se trouve cette phrase SVP?
    « Bergère ô tour Eiffel le troupeau des ponts bêle ce matin »
    Merci d’avance

  79. fournier

    dit :

    Bien beau poème en effet. Mais que dire des messages qu’il suscite… Des fautes de français et d’orthographe à la pelle… Ce qui est navrant pour des gens supposés aimer la littérature. Consternant qu’en ne se relisant pas ceux-ci ne se donnent pas la peine d’honorer l’auteur qu’ils aiment ni de respecter des lecteurs éventuels. Décourageant !

  80. Benamara missoum

    dit :

    Ce poème est une merveille de la langue française, une nacre de la littérature. Je l’avais appris en ma 2 années de licence en 2013.

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