À la minute

Paul Eluard

L’instrument
Comme tu le vois.
Espérons
Et
Espérons
Adieu
Ne t’avise pas
Que les yeux
Comme tu le vois
Le jour et la nuit ont bien réussi.
Je le regarde je le vois.

Paul Eluard, Capitale de la douleur, Répétitions, 1926

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1 commentaires sur “À la minute”

  1. yves she

    dit :

    S’il vous plait, je voudrais l’explication de ce texte

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