Marais salants de nuages resplendissant sur le phare
Je me rapproche, je touche, je goûte
Les algues ont obscuré l’avancée des crabes
vivant sous les rochers domptés par la marée haute.
La mousse des vagues m’agglutine
l’air saumâtre me chavire
je me sens de nouveau seule.
Pourquoi ?
J’espérais trouver une réponse dans cette île
à la grandeur du théâtre humain.
Je pensais voir des baleines
il y en a point.
Tu as à nouveau tout détruit
Tu n’as pas su garder la stupeur
de l’âme écarquillée devant la vie.
Malheur à toi!
Sybille Rembard, 2006
J’ai adoré ce poème qui est remplit d’émotions. Excellent travail.
J’ai adoré ce poème !
C’est une poésie ? Y’a rien qui rime !
Bravo au poète car c’est un magnifique poème.
Bravo au poète. Il est trop fort. Le poème est rempli d’émotions. Bravo
C’est déchu. Julie le 5 octobre 2016 à 17:57.
C’est déçu ou déchu ?
J’adore cette poésie
Que vous parait important ?
Vous ètes très poetique et j’adore votre poésie.
Tout ce que nous savons c’est que ce poème a été écrit en 2006…