L’horloge arrêtée

Marceline Desbordes-Valmore

Horloge d’où s’élançait l’heure
Vibrante en passant dans l’or pur,
Comme l’oiseau qui chante ou pleure
Dans un arbre où son nid est sûr,
Ton haleine égale et sonore
Dans le froid cadran ne bat plus :
Tout s’éteint-il comme l’aurore
Des beaux jours qu’à ton front j’ai lus ?

Marceline Desbordes-Valmore, Elégies

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3 commentaires sur “L’horloge arrêtée”

  1. Koikoubè

    dit :

    Très minable comme texte. Très triste…

  2. maurice lanteuil

    dit :

    Merci !

  3. Texier

    dit :

    Très bien! J’ai adoré ❤

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