Réalisation

Esther Granek

Lorsque j’étais en herbe,
déjà je t’inventais.
Réconfortant. Superbe.
Merveilleux tu serais.

Lorsque je fus en fleur…
Eh bien… je t’attendais…
Je pensais :  » C’est douleur
dont on ne se remet « .

Que simple est le bonheur
lorsqu’on en est pourvu !
Car dès que tu parus
j’oubliai tout ! Sur l’heure !

Esther Granek, Je cours après mon ombre, 1981

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1 commentaires sur “Réalisation”

  1. celine

    dit :

    Ce poème me plait beaucoup. Merci, grâce à vous j’ai pu faire mon devoir. J’ai 14 ans.

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