Sous la lune absente
Je converse avec les géants de la nuit,
Ces arbres qui remuent le noir de leur langage mystérieux
Ou bien
Habitent le silence nocturne.
Je devine au loin
Mon capitaine
Habité par le vent
A la proue de son navire couleur de crème
Blanc
Cassé
Fendu par l’écume du trait du jour naissant.
Maëlle Ranoux
Bonjour je suis en 5° j’ai un devoir en français, pouvez-vous me dire de quel recueil vient ce poème svp ? Car je ne le trouve pas.
Je m’appelle Théo, j’ai 12 ans. Je suis au collège de ferriere en Gâtinais. J’aime votre poème et je vous ai présenté à mes camarades pour le printemps des poètes(ses). Votre poème est beau.
Bonjour Stéphane, j’ai écrit ce poème l’été 2016. Merci de votre intérêt pour mon texte.
Bonjour Maelle Ranoux.Je cherche la date exacte de votre poésie pour la proposer à mes élèves. Pourriez vous la communiquer ? Par avance un grand merci à vous et à vos mots.
Magnifique, comme le dirai Mme Sand. Cette touche de mélancolie bien dosée rend un parfait poème. Bravo!
Jean-pierre BALLENGHIEN, vous interprétez comme vous voulez la présence des arbres et du capitaine. Pour moi, le capitaine est une apparition une fois le sommeil venu et après avoir dialogué avec « les géants de la nuit » pour trouver ce sommeil.
La date ? Svp
Bonjour, nous avons beaucoup aimé ce poème mais nous sommes en pleine discussion familiale pour savoir si le capitaine et le navire sont bien des arbres à l’horizon ?
Lucie CM2
Alexane, j’ai écris un scénario de court métrage que j’ai également co-réalisé, mais c’est mon seul lien au cinéma.
Je trouve ce poème très beau! Mais pour le présenter en Français j’aurai besoin de savoir si vous auriez travaillé dans le cinéma?
J’aime beaucoup, Bravo. Ca m’a vraiment pris. Je suis aussi d’accord pour dire que c’est « tres » joli, Mme Sand
Merci beaucoup, vos remarques me touchent !!
On écrit « très », Mme Gonçalves, avec un accent grave. Ce poème est magnifique. Cette petite touche de mélancolie le rend beau. Mais je suppose que ça c’était voulu donc je vais me taire pour éviter de dire des évidences.
Trés beau ça.