Vincent Van Gogh, La vigne rouge, 1888
Les choses qui chantent dans la tête
Alors que la mémoire est absente,
Ecoutez, c’est notre sang qui chante…
O musique lointaine et discrète !
Ecoutez ! c’est notre sang qui pleure
Alors que notre âme s’est enfuie,
D’une voix jusqu’alors inouïe
Et qui va se taire tout à l’heure.
Frère du sang de la vigne rose,
Frère du vin de la veine noire,
O vin, ô sang, c’est l’apothéose !
Chantez, pleurez ! Chassez la mémoire
Et chassez l’âme, et jusqu’aux ténèbres
Magnétisez nos pauvres vertèbres,
Paul Verlaine
Je ne comprends rien mais stylé pour une anthologie sur l’alcool.
Eh je comprends pas. Je crois que c’est une belle poésie mais bon.
Rien compris et il n’y a rien à comprendre. Il était saoul.
En vrai pas ouf mais ca passe pour une présentation orale pour français
Verlaine est un pont entre le vieux et le moderne.
Très beau poème.
Un très beau poème
Je n’ai rien compris.
Un très beau poême!
J’en ai les larmes aux yeux… Trop d’émotion dans un seul poème… Mon cœur danse la maccarena oh lala.
C’est mon poète francais préféré! Magnifique!
La joie dans la plume du beau Verlaine. Peut-être a-t-il, lui même participé aux vendanges…! Et fait chanter ses vers.!
je pense que il a du connaitre pour resumer la vigne comme cela et lui rendre hommage.